Garantir un environnement de travail sain et sécurisé n’est pas une option : c’est une obligation légale pour tout employeur (article L.4121-1 du Code du travail).
Le harcèlement, qu’il soit moral ou sexuel, a des répercussions lourdes sur la santé des collaborateurs : stress, anxiété, dépression, voire burn-out. Fermer les yeux sur ces situations, c’est prendre le risque de voir leur état de santé se détériorer, avec des conséquences humaines et professionnelles majeures.
L’employeur a une responsabilité renforcée : il doit anticiper, prévenir et agir. S’il ne prend pas les mesures nécessaires, il s’expose à des sanctions civiles et pénales, pouvant aller jusqu’à une condamnation pour faute inexcusable, des amendes ou, dans certains cas, des peines de prison.
Au-delà du cadre légal, ne pas traiter un cas de harcèlement peut gravement impacter l’entreprise : procédures judiciaires longues et coûteuses, perte de confiance interne, et bad buzz médiatique pouvant ternir son image auprès des clients, partenaires et talents potentiels.
Agir, c’est protéger la santé des collaborateurs, préserver le climat de travail et assurer la pérennité de l’organisation.